Figurations critiques

 
Les quatre tableaux,  Marianne dans le métro , Client suivant, A la caisse, A l’hippodrome, font partie d’une série, commencée en 1965, qui se rattache au mouvement, alors d’avant-garde, qui deviendra la FIGURATION CRITIQUE.
 
Ces peintures violentes, aux couleurs exacerbées, marquent une contestation plastique de la société de consommation.
Jean CASSOU écrira à ce propos, trois ans plus tard, en 1968 dans « Art et contestation », édité par La Connaissance (Bruxelles):
 Les arts se manifestent moins  comme expression que comme anticipation. On les appelle alors- du moins est-ce une appellation dont nous nous plaisons à user hier encore d’ « avant-garde». Un artiste valable et vivant se détache de la société alors contestée, en répudie les poncifs, et pratique son art comme il l’entend. Et voici  que par ses innovations, ses recherches de moyens inédits, ses combinaisons singulières des éléments plastiques, par ses affinités avec tels aspects de la réalité extérieure et de la vie sociale, il parait donner forme à des modes de sentir extérieurs…
 
Les caissières
Les caissières
Les turfistes
Les turfistes
Marianne dans le métro
Marianne dans le métro
Clientsuivant
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